Macarons à la pistache
Ha la la ! çà y'est, moi aussi je suis atteinte de la "maladie" qui circule sur toute la blogosphère culinaire : j'ai nommé la Macaronoïte.
De retour de ma virée parisienne avec étapes obligatoires chez G. DETOU et MORA, me voilà donc parée pour poursuivre mes aventures macaronesque.
Chez G. DETOU, j'ai donc choisi plusieurs colorants pour habiller joyeusement mes petites coques, j'ai pris également des féves tonka ( je vais enfin pouvoir découvrir cette saveur) et puis je me suis laissée tenter par de la pâte de pistache et enfin de l'agar-agar. Pour celui-ci, je sais qu'il faut apprendre à le maîtriser ( j'ai fait un bavarois qui est entrain de prendre dans le congélateur, je ne suis pas trop sûre du résultat) alors magique ou pas cette poudre, l'avenir nous le dira !!!! Pour les lectrices qui ne connaissent pas l'agar-agar, c'est un gélifiant à base d'algues qui remplace la gélatine.
Chez MORA, je me suis tenu uniquement à ma petite liste sinon !!!! la carte bleue aurait vu rouge. Donc quelques emportes-pièces, une réserve conséquente de poche à pâtisserie jetable, des cornets tout prêts en papier sulfurisé pour l'écriture sur les gâteaux (là, je reconnais qu'il y a encore beaucoup de travail à apporter pour y arriver) et puis surtout LA fameuse douille unie de 85 mm pour les macarons.
J'ai donc repris la recette de mes coques chocolat ici, mais évidemment on remplace la poudre de cacao par du colorant alimentaire en poudre vert pistache ( une pointe de couteau suffi, incorporer quand les blancs d'oeufs sont montés et meringués puis battre quelques instants ).
Suivre les étapes de la recette précédente, j'ai seulement ajouté un peu (trop) de poudre de pistache pour mes coques supérieures ( au moment du croûtage). Ensuite pour l'assemblage, j'ai réalisé une ganache trouvé sur le net à base de chocolat blanc et de pâte de pistache, je ne mets pas de lien car je ne suis pas pleinement satisfaite, car celle-ci est restée trop molle et a causé quelques coulures inesthétiques.